Rencontre avec Jean-Baptiste Sylvestre, agriculteur et naturophile averti

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Agriculteur avec Plaisir !, Jean-Baptiste Sylvestre cultive amoureusement l’aneth dans sa région du Diois, située dans le département de la Drôme. Afin de mieux comprendre son quotidien, nos journalistes sont allés mener l’enquête. Voici notre interview exclusive !

Comment êtes-vous venu à pratiquer le métier d’agriculteur ?

JB.S – L’agriculture est une histoire de famille chez nous. Elle remonte à mes arrières grands-parents paternels et maternels, qui déjà pratiquaient le métier.

Je suis né dans la ferme familiale de mes parents et j’ai donc baigné dans ce milieu depuis tout petit. En grandissant et à force de travailler aux côtés de mon père, je me suis aperçu que je voulais rester au pays, pour poursuivre les traditions familiales. J’ai donc fait un BTS agricole et la suite est venue tout naturellement. J’ai réussi à agrandir la ferme pour la rendre plus viable. Nous sommes passés de 20 à 80 hectares !

Pourquoi avoir choisi l’agriculture en bio ?

JB.S – Le bio, c’est aussi une affaire de famille ! Nous utilisons ce mode de culture depuis très  longtemps. C’est probablement dû à notre lieu de vie car la Drôme est le premier département bio de France. Il y a énormément d’agriculteurs bio dans notre région du Diois.

Qu’est-ce qui fait la différence avec une agriculture dite « classique » ?

JB.S – Tout d’abord l’environnement de qualité dont bénéficient nos plantes. La différence de rendement n’est pas très différente au final, ce qui change c’est surtout la qualité de vie de nos productions et, bien sûr, les convictions que nous portons. Personnellement, je n’ai jamais traité aucune de mes plantes avec des produits chimiques, et mes parents non plus.

Pourriez-vous nous décrire l’agriculture bio en quelques mots ?

JB.S – C’est avant tout la préservation de notre environnement, tout en produisant sainement. L’idée est de préserver au mieux ses cultures. Pour cela on utilise uniquement des produits naturels comme le fumier ou le compost. Je n’utilise que des engrais organiques achetés en bio.

Comment est-ce que le bio se traduit dans votre quotidien ?

JB.S – Ma femme et moi ne consommons quasiment que des produits biologiques. Et ça n’est pas seulement au niveau de la nourriture, cela concerne aussi les emballages que nous essayons d’éviter au maximum. Pour cela nous achetons des produits en vrac, afin de limiter les sachets en plastique. De manière générale, nous nous efforçons de réduire notre consommation d’énergie, mais aussi de consommer local. C’est important pour nous de préserver le circuit cours.

Auriez-vous un conseil à donner aux personnes souhaitant adopter ce mode de vie et de travail ?

JB.S – Pour moi, on ne peut pas faire de bio si l’on n’est pas passionné. Pourquoi ? Parce que l’agriculture en bio représente une charge de travail bien plus importante, il est bien moins facile de désherber sans l’aide d’un produit chimique. On doit donc travailler en bio si on a de fortes convictions.

Pourriez-vous nous décrire une journée type de votre quotidien ?

JB.S – Mon travail varie beaucoup en fonction des saisons et de la météo, il est difficile pour moi de vous décrire une journée type car elles ne se ressemblent pas vraiment.

En ce moment je passe ma journée à biner (fait de retourner la terre pour ameublir la couche superficielle du sol, ndlr) . Ce qui est important dans l’agriculture bio ce sont les rotations. On fait du foin pour laisser la terre se reposer pendant quelques années, puis on fait pousser des luzernes qui permettent de restructurer la terre et éliminer les mauvaises herbes de façon naturelle. Après, lorsque la terre est reposée et enrichie, on repart sur des cultures de céréales et de plantes aromatiques durant 4 ou 5 ans.

Pourquoi avoir choisit de travailler l’aneth avec nous ?

JB.S – La culture de l’aneth remonte à loin dans notre famille. Mes parents ont toujours travaillé les plantes aromatiques et moi-même j’ai repris le flambeau. Notre climat méditerranéen fait que l’aneth pousse bien chez nous, au même titre que la coriandre et le fenouil.

Avez-vous eu l’occasion de goûter à nos produits avec Plaisir ! ?

JB.S – Oui, ma femme et moi adorons les infusions, notamment celles avec de l’aneth !

Passage Brady, le Little India parisien

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L’Inde à Paris, sur 200 mètres

Non loin de la célèbre gare de l’Est, il est possible de s’évader à l’autre bout de la planète, le temps d’une balade ou d’un savoureux repas.

Alors que des centaines de parisiens ne font que passer, il suffit pourtant de lever les yeux au ciel pour remarquer le nom de ce passage couvert inscrit en grosses lettres blanches : le passage Brady. Les odeurs de safran, curry, curcuma et autres senteurs exotiques qui y règnent nous transportent loin, loin, très loin…

Little India et ses magasins

Coiffeurs, vendeurs d’étoles, épiceries indiennes et pakistanaises côtoient les classiques du boollywood, bijoux et autres costumes traditionnels. On pourrait très bien être à New Delhi, en train de faire quelques emplettes. À ce propos, ici c’est LE lieu pour trouver les fruits et légumes inconnus au bataillon parisien. À la recherche de  chayottes, de carvis ou de dudhis ? Vous êtes au bon endroit ! À cela s’ajoutent les riz parfumés, essences orientales, thés et autres trésors culinaires du sous-continent. En bref, c’est une véritable explosion de couleurs et d’arômes.

Des restaurants à perte de vue

On ne va pas se mentir, la plupart des visiteurs viennent surtout pour goûter aux classiques indo-pakistanais du coin. Outre les légendaires biryanis, palak paneer et samossas, un incontournable de l’Inde fait aussi partie du paysage : les rabatteurs. Brady ne serait pas Brady sans ses célèbres VRP à l’entrée des restaurants, usant de leurs plus belles stratégies commerciales pour attirer la clientèle. Pas de doute, l’Inde n’est qu’à quelques stations de métro…

Adresse

46, rue du Faubourg Saint-Denis 75010

Paris, France

Informations complémentaires

Horaires : ouvert du lundi au samedi, de 09h30 à 23h30 et le dimanche, de 18h à 23h30.

Prix : variable selon les restaurants, entrée du passage gratuite.

Téléphone : 07 83 66 98 24

Site web : non existant.

Accès PMR : oui (à l’entrée du passage).

Article réalisé pour Cactus Insolite, susceptible d’être modifié par le client.

La Pagode de Monsieur Loo

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Un hôtel très particulier

Si l’on vous dit pagode à Paris, rien d’original jusque-là, compte tenu du nombre d’édifices religieux présents dans la capitale. Pourtant, celui-ci fait exception à la règle. Non, il ne s’agit pas là d’un temple bouddhiste mais bel et bien d’un hôtel particulier rendant hommage à l’Empire du Milieu.

Un brin de Chine chez Haussmann

Au beau milieu de la rue de Courcelles, la Maison Loo règne en maître, toute de rouge vêtue. Alors que tout dans son esthétique respire l’histoire impériale, elle n’a pas toujours eu cette apparence. Il s’agissait à l’origine d’un hôtel particulier haussmannien du XIXe siècle, comme on en trouve un peu partout dans le quartier. En 1925, un collectionneur d’art curieux s’y intéresse de plus près et décide de le racheter, pour faire honneur à son pays natal. L’hôtel subit alors toute une série de transformations. Outre son revêtement complet en rouge, il fut rehaussé de deux étages (avec une pagode en tuile à chaque niveau) et doté d’un superbe portique. Pour la petite histoire, ce dernier fut installé devant l’entrée afin d’empêcher les mauvais esprits de rentrer.

Des visites très prisées

On ne peut avoir accès à l’intérieur que durant les expositions et les salons, qui ne sont que trop peu fréquemment organisés. Les plus chanceux apprécieront l’ambiance exotique des lieux, qui s’élève au même rang (si ce n’est plus) que son aspect extérieur. Mais pour l’instant, motus et bouche cousue. Nous vous laissons découvrir par vous-même la magie de cet endroit unique.


Adresse

48, rue de Courcelles – 75008
Paris, France

Informations complémentaires
Téléphone : 01 45 61 06 93
Horaires : selon les évènements organisés

Tarif : Idem

Accès PMR : non

Article réalisé pour le compte de Cactus-Insolite, susceptible d’être modifié par le client.

5 activités culturelles à faire en famille à Bordeaux

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Quelles activités culturelles pour les familles à Bordeaux ?

La Belle Endormie a plus d’un tour dans sac ! Réaliser des activités culturelles à Bordeaux en famille, c’est s’offrir la promesse de découvertes historiques, balades urbaines insolites et bien d’autres surprises à découvrir avec toute la troupe. Voici quelques exemples.

S’offrir une virée street art à Darwin

Pour cette activité culturelle à Bordeaux, emmenez vos enfants au sein d’un lieu haut en couleurs où les artistes sont venus habiller les murs de leur palette créatrice ! Observez ces anciens entrepôts désertés reprendre vie au bord de la Garonne et leurs curieux dessins à l’effigie de personnages et autres formes amusantes. Au sein de cet immense musée à ciel ouvert réparti sur 3 hectares, profitez-en pour boire un verre en famille ou déguster un repas en terrasse ou, pourquoi pas, visiter la ferme urbaine ou le skate park pour les ados ?

De caserne militaire à lieu d’exposition

Darwin était autrefois une caserne militaire qui fut abandonnée en 2005. Grâce aux riverains et associations ce lieu laissé à l’abandon renaquit de ses cendres pour devenir l’un des plus grands bastions artistiques de Bordeaux.

Visiter Bordeaux à vélo

Les activités culturelles à Bordeaux se prêtent fort bien aux vélos. Démarrez votre balade depuis la place Gambetta afin de pouvoir profiter des nombreux monuments classés au Patrimoine Mondial de l’Unesco. Prenez le temps d’observer leurs détails, notamment les petits ornements au-dessus des portes. Vous passerez par la place de la Comédie et son célèbre Grand Théâtre puis arriverez sur les quais en longeant la Garonne jusqu’au pont levant Chaban-Delmas, inauguré récemment. Empruntez la piste cyclable jusqu’à la rive droite afin de bénéficier d’une très jolie vue sur la place de la Bourse et le quartier du Vieux-Bordeaux. Terminez cette promenade en famille jusqu’à la magnifique place du Palais où vous pourrez vous offrir une halte gourmande bien méritée !

Visiter le M.U.R de Bordeaux

Copyright : Bernard Blanc

A l’instar de Darwin, ce lieu permet aux artistes bordelais de laisser libre cours à leur expressivité. Au gré de cette activité culturelle à Bordeaux, vous contemplerez une jolie surface de 35 m2 tapissé d’œuvres éphémères changeant au fil des expositions. Vous pourrez donc redécouvrir ce lieu à l’infini en fonction des artistes qui viennent y travailler. Observez ces associations de couleurs et de formes sujettes à interprétation entre parents et enfants. 

Terminez votre journée par un instant de douceur

A 20 minutes à pied du M.U.R, le Novotel Bordeaux Lac vous propose le confort de ses chambres équipées pour toute la famille. L’occasion de vous reposer après une belle journée riche en découvertes.

Découvrez Cap Science, le rendez-vous des petits et grands curieux

Copyright : Ardfern

Situé en bord de Garonne au pied du pont Chaban-Delmas, Cap Science fait partie des incontournables en matière d’activités culturelles à Bordeaux avec des enfants. A l’intérieur de ce monument, vous pourrez choisir entre un riche programme d’expositions et d’animations, mais aussi d’ateliers et d’expériences autour de la découverte scientifique. Pour les plus petits, rendez-vous à l’espace « Labo Miam » dédié aux expériences culinaires pour les 6-12 ans. Les plus grands se dirigeront vers le « Cap Science Juniors », sensibilisant notamment aux enjeux écocitoyens. Terminez en beauté au sein de la terrasse suspendue du café des sciences en admirant la vue sur le port de la Lune. Un riche programme en perspective ! 

Visiter le zoo de Bordeaux-Pessac

Copyright : ZooBdxPessac

Aux portes de la ville, organisez une activité culturelle à Bordeaux à la rencontre de la faune sauvage. Au cours de votre visite, vous apercevrez des espèces issues des cinq continents, de l’Asie à l’Amérique du sud : autruches, lions blancs, wallabies, tigres blancs et tant d’autres impressionneront toute la famille. Offrez-vous une pause déjeuner sur les aires de pique-nique avant de reprendre de plus belle !

Vous l’aurez compris, les activités culturelles à Bordeaux sont diverses et variées et permettent de satisfaire tous les âges et caractères, des plus intrépides aux amateurs de balades tranquilles.

Article rédigé pour Accor Group, susceptible d’être modifié

Biographie de Stefan Zweig

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Stefan Zweig est un écrivain, biographe, dramaturge et journaliste autrichien né le 28 novembre 1881 à Vienne, et mort le 22 février 1972 à Petrópolis au Brésil. Il est considéré comme un biographe reconnu ayant conté l’histoire de vie de plusieurs figures historiques, et comme un romancier et novelliste de renom. Parmi les livres les plus connus de Stefan Zweig figurent Le Joueur d’échecs ou encore Le monde d’hier .

Stefan Zweig, les débuts de l’écrivain

Stefan Zweig naît en 1881 à Vienne, en Autriche-Hongrie. Fils de parents juifs aisés ayant fait fortune dans le textile, il bénéficie d’une éducation laïque. Il grandit dans un quartier bourgeois et reçoit un enseignement strict.

A l’âge de 10 ans, en 1891, Stefan Zweig intègre parmi l’un des meilleurs lycées de Vienne. C’est au cours de cette période qu’il se prend de passion pour la littérature, la philosophie , l’histoire et l’univers de l’art. Le jeune homme découvre notamment Mir Zur Feier de l’écrivain Rainer Maria Rilke. Il ne tarde pas à réciter par cœur ses poèmes, trouvant là son premier refuge littéraire.

Quelques années plus tard, Stefan Zweig découvre la vie de bohême avec ses amis de lycée. Ils se donnent rendez-vous au café, discutent et jouent aux échecs, un jeu qui le fascine et dont il fera l’objet dans son livre Le Joueur d’échecs . Il se découvre également un grand intérêt pour les revues culturelles exposées sur les tables de café. C’est probablement ce qui lui donnera son goût pour le journalisme plus tard.

En parallèle à ses sorties culturelles, Stefan Zweig se met à coucher ses idées sur le papier. Il écrit son premier poème Rosenknospen (Bouton de Rose) en 1898 au sein de la revue Die Zukunft (L’Avenir), dirigée par Karl Emil Franzos.

Un élève moyen

Lorsque Stefan Zweig reçoit son baccalauréat en 1900, ses résultats sont juste au-dessus de la moyenne. Le jeune homme exprimait d’ailleurs son mécontentement vis-à-vis du système scolaire qu’il jugeait contraignant, le déprivant de sa liberté. Zweig était loin de s’imaginer la brillante carrière d’écrivain qui l’attendait.

Après l’obtention de son bac, Stefan Zweig décide d’entreprendre des études de philosophie. Il continue en parallèle d’écrire et de publier de nombreux poèmes (que l’on estime déjà à 400 en 1901 !). Il publie son premier recueil de poésie en 1901, intitulé Les Cordes d’argent où il sélectionne une cinquantaine de ses meilleurs poèmes. Il publie également la même année sa première nouvelle, Im Schnee (Dans la neige) au sein d’un journal viennois.

L’année suivante, il fait la rencontre d’une figure inspirante pour ses futures années d’écrivain, celle du poète Emile Verhaeren. Stefan Zweig et lui deviennent amis intimes et Zweig devient également son traducteur et biographe . La biographie d’ Emile Verhaeren (publiée en 1910) sera la première d’une longue liste consacrée à différentes personnalités.

Les œuvres majeures de Stefan Zweig

En 1904, Stefan Zweig est reçu Docteur en philosophie et s’installe à Paris où il fait la connaissance de plusieurs écrivains dont Jules Romains. C’est le début d’une période fructueuse de publications. Stefan Zweig publie des nouvelles et pièces de théâtre tout en voyageant à travers l’Europe.

Au cours de l’un de ses nombreux séjours en France, Stefan Zweig fait la connaissance de Romain Rolland, avec qui il entretiendra une longue amitié et dont il publiera la biographie en 1919, sous le nom de Romain Rolland : sa vie, son œuvre .

Lorsque la guerre éclate en 1914, Stefan Zweig perçoit cet évènement comme un véritable traumatisme qu’il mettra en scène dans certains de ses romans.

Au fil des années, les publications de l’écrivain s’intensifient. Stefan Zweig continue de publier des nouvelles dont Amok en 1922, mais aussi des biographies comme celle de Joseph Fouché en 1922 ou Marie-Antoinette en 1932, ou encore Marie Stuart en 1935.

En 1938, l’annexion de l’Autriche par l’Allemagne pousse définitivement l’auteur à quitter son pays d’origine. Stefan Zweig s’installe à New-York avec sa femme Lotte, puis au Brésil. De plus en plus gagné par la dépression, il tente d’oublier cette époque néfaste en se plongeant dans le travail. Stefan Zweig donne alors des conférences en Argentine et en Uruguay et rédige ses mémoires en parallèle.

Stefan Zweig met fin à ses jours le 22 février 1942 avec sa femme Lotte, qui refuse de vivre sans son époux. Petrópolis rend un grand hommage à l’écrivain en lui organisant des funérailles nationales. Plusieurs de ses livres seront publiés en ouvrages posthumes, dont Le Joueur d’échecs , considéré par certains comme le meilleur livre de Stefan Zweig.

Les derniers livres de Stefan Zweig

Montaigne (1942 – publication posthume)
Le Monde d’hier (1944 -publication posthume)
Balzac. Le roman de sa vie (1946 – publication posthume)

Stefan Zweig, prix et distinctions

En 1904, Stefan Zweig reçoit le prix de poésie Bauernfeld, l’une des plus hautes distinctions de son pays .

 

Article rédigé pour la Fnac, pouvant être soumis à des modifications

Sur Un Arbre Perché : quand Dame Nature s’adresse aux gourmands

sur un arbre perché

En plein cœur de l’un des quartiers les plus animés de Paris, le restaurant Sur Un Arbre Perché nous offre une halte des plus reposantes.

De la nature au menu

Comme son nom l’indique, on prend très vite de la hauteur dans ce lieu enchanté. Sur une balançoire ou confortablement assis dans une cabane, on y savoure une cuisine raffinée, pour le plus grand bonheur de nos papilles. Le must ? Des massages shiatsu sont proposés dans l’arrière-salle du restaurant.   

Une déco végétale

Tout ici rappelle la thématique de la forêt. Des fauteuils suspendus par des câbles en forme de branches aux lustres faits de fils d’aciers entremêlés (qui sont non sans rappeler des nids d’oiseaux), on s’y sent comme à la campagne. L’escalier, lui aussi, fait écho à la nature avec ses petites plantes en pot déposées sur les marches et sa rampe ressemblant à une tige sinueuse.

À l’étage, le chemin à travers les bois continue. On prend son repas sur des coussins aux différents tons de vert, sous une guirlande de feuilles. Pour parfaire l’atmosphère bucolique, de jolies photos de fleurs ont été accrochées au mur.

Côté cuisine…

© Pinterest

La carte réduite n’en est pas moins savoureuse ! Lasagnes de chèvres fais, foie gras poêlé au pain d’épice ou encore croustillant de gambas à la menthe : les fins gourmets en redemanderont. Bien que le budget soit conséquent, le jeu en vaut la chandelle.

Petit plus : il est conseillé de réserver minimum 48 h à l’avance pour avoir une table.

Adresse :

1 rue du 4 septembre, 75002

Paris, France

Informations complémentaires :

Prix : de 8 à 62 €.

Téléphone (numéro spécifique à la réservation) : 01 42 96 97 01

Site web: https://www.surunarbreperche.com/    

Accessibilité PMR : non

#OCTOBRE – Fruits et légumes de saison

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Octobre nous réserve (encore) de belles surprises culinaires avec un joli de paniers de fruits et légumes comme on les aime. On troque ses idées reçues ! A vous les veloutés gourmands, quiches généreuses et autres bruschettas automnales ! Sans oublier les petites notes de douceur pour se consoler par jours de pluie. Alors zou, on file chez son primeur pour dénicher ses produits de saison 😉 Côté légumes, voici ce qu’octobre nous dévoile dans son calendrier alléchant. Continuer la lecture de « #OCTOBRE – Fruits et légumes de saison »