Millet Trilogy, le fleuron des grimpeurs

« Ils ne savaient pas que c’était impossible alors ils l’ont fait ». Cette phrase de Mark Twain aurait pu être écrite pour décrire l’évolution de la marque Millet à travers les années.

L’aventure commence dans un petit atelier de fabrication de sacs en 1921, dirigé par les fondateurs Marc Millet et son épouse. Très vite, ils s’inscrivent dans une idéologie bien précise, celle de l’innovation constante pour le public montagnard.

Millet signe le début de son succès une dizaine d’année après sa création, avec la naissance d’un produit inédit pour les alpinistes. Un sac à commission muni de bretelles, qui deviendra le sac à dos quelques années plus tard. C’est ce même produit qui dévoilera Millet à la scène internationale. En 1950, les deux alpinistes Louis et Maurice Herzog font la fierté de l’Hexagone avec le premier sac à dos de montagne Millet. Ce sont aussi les premiers français à gravir l’Annapurna, un sommet himalayen de plus de 8000 mètres.

Au fur et à mesure de son évolution, Millet développe des équipements toujours plus à l’affût des nouvelles techniques de haute-montagne. Vêtements, sacs, chaussures, cordes… La marque se place progressivement comme un acteur incontournable de la performance alpine, en accompagnant les plus grands. C’est précisément dans cette optique que nait la gamme Trilogy, en 2014.

Trilogy, la genèse

Millet

Le nom Trilogy fait référence aux trois faces Nord les plus célèbres des Alpes. Le Cervin, L’Eiger et les Grandes Jorasses, surnommés « les trois derniers grands problèmes des Alpes » dans les années 1930. Ils causèrent en effet bien des troubles à la communauté montagnarde.

Presque l’intégralité des Alpes avait été assujettie, mais restaient ces 3 faces redoutables. Pourquoi une conquête aussi tardive ? Elles rassemblaient les principaux défis des grimpeurs, à savoir : la raideur, l’austérité, le rocher et la glace. Après de nombreuses défaites, le Cervin, les Grandes Jorasses et l’Eiger furent respectivement escaladés en 1931 et 1938 pour les deux derniers.

Insatiables, les alpinistes se fixèrent alors un nouvel objectif. L’enchaînement des trois faces. Le premier à s’attaquer à l’inatteignable fut Gaston Rebuffat, un alpiniste marseillais qui se mit en tête de gravir les trois faces en 1945. Il acheva finalement sa performance… en 7 ans !

Plus ambitieux mais surtout mieux équipés, deux sportifs de haut niveau décident de s’atteler à l’ascension des 3 faces en solitaire, une quarantaine d’années plus tard. Eric Escoffier et Christophe Profit. Commence ainsi une compétition effrénée entre les deux hommes. Et que le meilleur gagne !

En ce fameux jour de 1987, l’héroïque Christophe Profit réalise l’impensable. Il enchaîne les trois faces en un temps record. Moins de 40 heures…

Cet exploit donne naissance à la célèbre « Trilogie des Alpes », qui inspirera par la suite de nombreux alpinistes à travers le monde. L’objectif sera désormais de gravir les trois faces le plus rapidement possible. S’ouvre alors une nouvelle page dans le volet alpin, celle d’une course contre la montre.

À l’image de Profit et d’Escoffier qui employèrent tous les moyens possibles pour gravir le trio mythique, Millet créé sa gamme Trilogy pour aider les grimpeurs à atteindre leur plus haut degré de performance. Son design vintage s’inspire librement de l’équipement des deux célèbres alpinistes dans les années 1980. Il fait d’ailleurs référence à une étape phare dans l’histoire de Millet.

Afin de faciliter l’ascension de Christophe Profit et d’Eric Escoffier, Millet décide de les équiper d’un tissu révolutionnaire pour l’époque, le Gore-Tex®. L’objectif est de leur offrir une protection sans-précédent contre les intempéries. À la fois léger et imperméable, ce matériau aidera les deux grimpeurs à faire face aux conditions extrêmes de la montagne.

Trilogy, le nec plus ultra de l’équipement de montagne

© Pinterest

En 2014, Trilogy décide de rendre hommage aux deux acolytes en reprenant les coloris de l’époque pour ses produits. Le bleu, le rouge mais aussi l’acid green (une couleur qui permet d’être repéré de loin en montagne) font aujourd’hui partie du design de la gamme. Mais avant d’aborder en détails la complexité de ses équipements, revenons à la source de son inspiration. L’Eiger, le Cervin et les Grandes Jorasses.

Un tiercé infernal

L’Eiger, cet ogre redoutable

Eiger

Louis Laurent, guide à Chamonix, a partagé son expérience avec la marque Millet lors de son ascension de la face nord de l’Eiger. Un sommet situé au cœur des Alpes Suisses. « La particularité de cette face, explique-t-il, c’est la difficulté de se protéger. C’est un rocher différent du nôtre ».

Et oui, tous les alpinistes vous le diront, l’Eiger représente le plus gros du travail parmi les 3 faces, ce qui lui a valu le surnom d’ogre. Il fut d’ailleurs la scène de nombreux drames. C’est le cas de le dire, puisque les spectateurs pouvaient assister en direct aux tragédies qui avaient lieu sur cet effroyable sommet, à l’aide d’une longue vue. Certains allaient même jusqu’à parier sur la mort ou la survie des grimpeurs ! Et pourtant, l’Eiger ne culmine qu’à 3790 mètres… Pourquoi tant d’ascensionnistes y perdirent la vie ?

Tout d’abord, les conditions climatiques de l’Eiger sont particulièrement rudes car elles sont soumises aux perturbations atlantiques. S’ajoute à cela sa paroi concave, qui retient les nuages. Il y a donc un risque beaucoup plus élevé d’avalanches que sur les autres faces. De surcroît, les deux pires ennemis des escaladeurs s’y logent : les névés et le verglas. Nombreux sont ceux qui prièrent pour leur vie sur l’araignée, une grande pente verglacée affreusement ardue, nichée au sommet de l’Eiger. Enfin, la paroi est très raide dans sa partie haute, ce qui alourdit encore plus la durée de la montée.
Un lieu en particulier représente un vrai défi pour ceux qui osent y mettre les pieds. La traversée des Dieux. Sur 1500 mètres de vide s’étale une roche calcaire complètement pourrie. Ici, il est extrêmement difficile pour l’alpiniste de s’assurer. Plus de raisons qu’il n’en faut pour ne pas s’y aventurer ! Cela n’a pas empêché les montagnards de s’y intéresser dès la fin du 19ème siècle. Mais c’est réellement à partir des années 1930 que la renommée de l’Eiger prend toute son ampleur.

À cette époque, la volonté allemande est claire, prouver sa supériorité. Et quoi de mieux que l’alpinisme pour atteindre des sommets ? La véritable prisée de l’Eiger aurait débuté en 1936, lorsque l’américain Jesse Owens gagna la médaille d’or aux jeux olympiques de Berlin. Face à cet échec national, l’Allemagne chercha à retrouver sa fierté à travers l’alpinisme. Les années 30 marquèrent ainsi le début d’un défilé d’ascensions teutonnes.

Il faudra attendre 1938, soit 4 ans après la première tentative, pour assister à la totale conquête de l’Eiger. Une coalition austro-allemande composée de 4 alpinistes viendra à bout de l’ogre, malgré des conditions météo abominables. S’en suivent de multiples tentatives de grimpe, parfois victorieuses et parfois fatales.

L’Eiger reste encore aujourd’hui ce monstre mythique qui terrifie et fascine à la fois les grimpeurs. Mais comme le dit si bien le guide Louis Laurent, « La montagne est accessible, c’est une histoire de volonté ».

Le Cervin, emblème des sommets

Cervin

Situé à la frontière suisso-italienne, le Cervin est l’un des sommets les plus photographiés au monde. Il attire chaque année un nombre incalculable de sportifs et de touristes, qui ne se lassent pas d’admirer sa parfaite forme pyramidale et ses arrêtes dentelées. C’est d’ailleurs cette morphologie emblématique qui a inspiré celle du célèbre chocolat Toblerone !

Le Cervin est surnommé « ds’Hore » auprès des locaux, ce qui en dialecte Suisse signifie la corne. On pourrait effectivement l’associer à la corne du diable car il a coûté la vie à bon nombre d’alpinistes. En près d’un siècle et demi, près de 500 grimpeurs ont péri lors de son ascension et seulement 20 personnes par an atteignent le sommet.

La cause ? Toute chez comme son homologue l’Eiger, les conditions météo sont souvent déplorables (vent fort, baisse drastique de température, orages…). En outre, jusqu’en 1980, la partie haute du Cervin, particulièrement ardue, n’était pas équipée de cordes fixes. Cela a causé de multiples accidents mortels.

Comme tout sommet épineux, le Cervin fut l’objet de nombreuses tentatives plus ou moins fructueuses. En 1931, sa face Nord fut asservie par deux munichois, Franz et Toni Schmid. Pour la petite anecdote, les deux frères avaient déjà effectué des centaines de kilomètres à vélo depuis leur ville natale, avant de gravir la face Nord du Cervin en deux jours. Après leur ascension, ils sont repartis comme ils sont venus, à bicyclette !

Environ 80 ans plus tard, le Suisse Uli Steck réalise une performance spectaculaire sur le Cervin. Il grimpe la face Nord en solitaire en seulement 1 heure et 56 minutes, soit la moitié moins que son prédécesseur.

Le dernier record en date est symbolique puisqu’il a été réalisé le jour du 150ème anniversaire de la première ascension, par le sportif Dani Arnold. Cerise sur le gâteau, il a rendu hommage aux frères Schmid en empruntant l’itinéraire original des deux alpinistes. Tout un symbole.

Les Grandes Jorasses

grandes jorasses

Située dans le massif du Mont Blanc, la face Nord des Grandes Jorasses a une particularité bien singulière par rapport à ses deux cousins. Elle est aussi large à la base qu’au sommet. Difficile de trouver un itinéraire meilleur qu’un autre ! En outre, les températures sont particulièrement basses au pied de la face Nord. Mieux vaut donc être bien équipé.

Comme son acolyte l’Eiger, elle fut conquise bien après le Cervin.

Pourtant, ce ne sont pas les essais qui manquèrent. Le guide Armand Charlet ira même jusqu’à faire 5 tentatives entre 1928 et 1934 ! Il est vrai que la face Nord des Grandes Jorasses a de quoi faire pâlir avec son immense paroi verglacée de 1200 mètres…

Un beau jour de 1938, un italien culotté, Ricardo Cassin, décide d’affronter ce géant dont tout le monde parle. Ce curieux personnage ne connaissait les Grandes Jorasses qu’à travers une simple carte postale. Avec ses compagnons de cordée Ugo Tizzoni et Luigi Esposito, il s’attèle à la tâche le 4 août 1938. Ses années d’expérience dans les alpes italiennes ont fait de Cassin une véritable machine tout terrain. Deux jours plus tard, les jeux sont faits et le trio arrive victorieusement au sommet.

Très exactement 30 ans après, deux hommes font l’objet d’une histoire toute aussi fascinante. Robert Flemmati et René Demaison décident d’emprunter un itinéraire vierge de toute ascension. Le Linceul, une pente de glace vertigineuse située à gauche de la célèbre pointe Walker. Ils font le choix de partir à pied de Chamonix.

Après trois jours de marche dans des conditions difficiles, les deux comparses arrivent au pied du Linceul. Ils s’attaquent à cette zone immaculée avec les faibles moyens de l’époque. Chaussés de crampons dix pointes et en taillant des marches dans la glace, ils arrivent tant bien que mal au bout.

Les mauvaises conditions météo ne leur permettront pas d’accéder au sommet, mais leur escalade marque l’arrivée d’un alpinisme à sensation. Munis de talkies walkies, les deux grimpeurs retransmettront toute leur ascension en direct aux médias. Même lorsqu’ils frôlent la mort… Du jamais-vu jusque-là.

Les années qui suivront seront sous le signe de l’ambition sous tous points de vue. Les « directes » et les « directissimes » font leur grande entrée. Le concept ? Trouver un itinéraire aussi direct que possible, en partant de la base jusqu’au sommet de la face Nord.

En parallèle, d’autres défis naissent au sein de la communauté alpine, notamment. C’est le début des fameuses hivernales. La particularité de la face Nord des Grandes Jorasses en hiver est son effet huit-clos. Aucune zone d’habitation n’est visible, contrairement aux faces Nord de l’Eiger et du Cervin. Une chose est sûre, mieux vaut avoir un mental d’acier !

Pour accompagner tous ces sportifs toujours plus avides de sensations fortes, la gamme Trilogy propose des vêtements basés sur une technologie particulièrement isolante. Elle s’adresse aux amoureux des sports de montagne, quel que soit leur parcours.

Trilogy, fidèle serviteur des alpinistes

Protéger, préparer, renforcer : tel pourrait être le slogan de Trilogy, en recherche constante d’innovation. Outre sa technologie Gore-Tex® des plus isolantes, Trilogy se définit comme une gamme tout-terrain. Peu importe la demande, elle s’efforce d’y répondre de manière personnalisée. La nouveauté du moment ? Les vestes Synthesis.


© Page Youtube Ekosport

Comme en témoigne cette vidéo, Millet vise une fois de plus un haut degré de performance avec Synthesis. Finies les vestes excessivement volumineuses et les coutures fragiles. Trilogy propose désormais des vestes nouvelle génération. Les coutures sont remplacées par du tissage, une véritable cloison qui empêche le vêtement de se déchirer. De plus, l’absence de coutures sur les épaules et sous les bras facilite considérablement les mouvements. Le petit bonus ? Les vestes Synthesis offrent plus de résistance au vent et à l’eau et sont bien plus légères. Résultat, elles allient confort, légèreté et étanchéité.

Bonne nouvelle, Synthesis n’est que la partie immergée de l’iceberg Millet ! Il est absolument impossible de parler de Trilogy sans aborder l’incontournable du grimpeur. Le fameux système des 3 couches.

Le système des 3 couches, encore et toujours plus de protection

3-couches-MilletComme son nom l’indique, il désigne les 3 équipements clés de l’alpiniste. Contrairement aux idées reçues, rien ne sert d’accumuler les couches de vêtements pour être bien protégé en montagne. Bon nombre de montagnards vous le diront, la question réside autour du comment et non du combien.

Idéalement, vous n’avez besoin que de trois couches pour être paré comme il se doit. L’objectif est justement d’utiliser un minimum pour un maximum de résultat. Et surtout, stabiliser la température de votre corps durant toute la durée de l’ascension, pour éviter aussi bien les coups de chaud que les coups de froid. Nous vous proposons d’aborder plus en détails la spécificité de ce système.

1. Un sous-vêtement respirant

sous-vetement

Essentiel car il permet à votre corps d’évacuer l’humidité, donc de transpirer. Grâce à ses fibres hydrophobes, le sous-vêtement dit « respirant » absorbe la transpiration et vous garde bien au sec. Cela vous évite la sensation de froid lorsque la sueur s’évapore. Haro sur les tee-shirts en coton ! Ils sèchent très lentement et absorbent l’humidité. Coup de froid garanti.

Chez Hardloop, on a testé pour vous

Le Trilogy Wool Ts Ls. Ce tee-shirt à manches longues en laine de mérinos vous offre le must du must en matière de protection. Comme pour toute bonne première couche qui se respecte, la laine a un effet respirant et dispose de propriétés anti-odeurs.

Le Trilogy Wool Ts Ls est également fabriqué à partir de polyester. Cette matière a la particularité de sécher plus rapidement et elle vous aide à évacuer efficacement la transpiration. Respiration, ergonomie et confort sont de mise.

2. Une polaire ou une doudoune, pour conserver la chaleur

polaire

La seconde couche est primordiale pour son effet duvet. Son but ? Isoler, isoler et encore isoler. En d’autres termes, elle retient la chaleur de votre corps pour que ce dernier garde sa température, même pendant les grands froids. Attention, pendant l’hiver, il conviendra de varier deux types de couches.

Durant l’effort, le second vêtement doit être assez léger car il doit vous permettre d’évacuer la transpiration, tout en gardant sa fonction isolante et en séchant rapidement. Privilégiez une polaire en fibres synthétiques car elle garde son pouvoir isolant, même lorsqu’elle est humide.

À l’arrêt, la couche doit être plus chaude, notamment en cas de forte baisse de température. La doudoune sera donc votre alliée idéale en temps de repos. Même si votre corps évacue moins de transpiration que pendant l’effort, choisissez également un vêtement qui absorbe l’humidité. Il permettra de faire sécher plus rapidement la première couche.

Prudence pendant la phase de séchage ! Elle ne doit pas être trop rapide pour éviter que votre corps ne se refroidisse trop vite. Un vêtement coupe-vent vous permettra également d’éviter ce genre de situation.

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Dans la famille des polaires, nous demandons la Trilogy Fleecewool Jkt ! En plus de son allure vintage, cette polaire est on ne peut plus technique. Elle allie le la sensation de confort apportée par la laine et le côté pratique du Primaloft. Quèsaco ? Une matière étanche d’apparence similaire au coton qui a pour effet de diffuser la chaleur. Le côté bonus, la Freecewool Jkt est respirante et ne craint pas l’humidité. Son col protecteur vous servira en cas de vent.

Au rayon doudoune, nos équipes apprécient tout particulièrement la Trilogy Down Blend Jkt. Elle réunit tout le confort d’un vêtement chaud, léger et imperméable. La Down Blend Jkt est fabriqué à partir d’un duvet qui régule parfaitement la température de votre corps, pour vous éviter les coups de chaud après l’effort.

3. Une veste Hardshell, contre les intempéries

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Parce qu’on ne part pas à la montagne comme on prendrait le métro, il est indispensable de miser sur une bonne veste de protection. Le but de la troisième couche est de vous protéger efficacement, peu importe les conditions météo. Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige… Vous pourrez rester au sec, à condition de bien choisir votre matériel. Notre conseil chez Hardloop ? Optez pour une veste Hardshell, LA veste de protection pour les sports outdoor.

Elle est à la fois imperméable et respirante. Cet effet est dû à l’élément de base de la Hardshell, la membrane. Elle se situe entre le tissu intérieur et extérieur. Trop fine, elle ne laisse pas pénétrer l’eau dans le tissu mais permet en revanche à votre transpiration de s’évaporer. Le vrai plus de la Hardshell : du fait de sa légèreté, elle peut aussi bien se porter en première qu’en troisième couche !

NB : Veillez à ne pas confondre protection et chaleur. La Hardshell vous protège des intempéries mais pas du froid. L’avantage est que lorsqu’elle est utilisée en couche finale, elle ne vous tient pas trop chaud, contrairement aux vestes imperméables classiques.

Pour en savoir plus sur les spécificités de la Hardshell, nous vous invitons à consulter notre article.

Chez Hardloop on a testé pour vous

La veste LD Trilogy Gore-Tex Pro JKT. Cette Hardshell est d’une efficacité sans borne contre tout type d’aléas climatique. Respirante, légère, imperméable, coupe-vent… Tout est conçu pour booster vos performances. Elle est aussi équipée de la technologie Gore-Tex, un matériel réellement isolant qui vous permettra d’explorer tous les terrains, sans vous soucier du temps qu’il fait.

Notez qu’il s’agit d’une Hardshell 3 couches, soit la plus technique qu’il soit. Sa membrane est confondue avec la doublure, pour un effet encore plus imperméable. Son côté hermétique est d’autant plus renforcé grâce à son tissu ristop, dont le rôle est d’éviter les déchirures.

Article rédigé pour hardloop.fr, susceptible d’être modifié par le client

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